Jeu de mots

Oui c'est ca ! et pour la cinquième fois je vais mettre le nom de Nyx dans le tableau .

Hé hé !

Je crois que j'ai trouvé le mot d'Osi ! Abracadabrant ?

*après avoir parcourut quelques pages du cictionnaire*

Abracadabrant !

Pour Nobilis Nyx, j'y avais pensé, mais je croyais qu'il sagissait d'un célébre latiniste qu'i était noble... Moi me compliquer la vie ? Non...

Très bien! Nyx et Osi ayant trouvé la bonne réponse toute les deux, je mettrais vos 2 noms dans l'ordre ou vous avez posté. C'est à dire Nyx puis Osi.
Etaignez la lumière, il en reste 1 !!!!! ^^

Pour le dernier, je propose craintif.

Bravo Osi, craintif est un des deux mot qu'il fallait trouver mais pour cloturer ce jeux je voudrait que l'on trouve le deuxième mots alors bonne chance !
PS : qui cloturera ce jeux en beauté ?

Heu, j'en ai plein... ^^'

Froussard ?

Youpi !

Hum... je propose lâche alors.

Bravo Nyx, c'est la bonne réponse. C'est donc toi qui finit mon jeu de mots en beauté.
Quand a toi Osi même si se n'est pas la deuxième proposition que j'attendais, tu as trouvé la première !

PS : Un grand merci a tout ceux qui se sont creuser les méninges pour trouver chaques mots correspondant à la définition !

On va dire que c'est Nyx hein ! De toutes façon Nyx et Tran'k Eter c'est la même chose... ^^

Yeepeee !

^^'

L'ancien jeu ayant été terminé, j'ai décidé d'en créer un deuxième, mais ce jeu là va être, disons ... un peu plus long !

Le but du jeu :

Raconter une histoire compréhensible et qui tienne la route !

Les règles :

Je vais commencer une histoire et c'est a vous de la continuer en la modifiant à vôtre guise en laissant l'histoire compréhensible quand même !
Je participerait aussi (je le dit même si on s'en doute ^^)
Vous pouvez inventer toute sortes de chose.
Les lignes sont illimités (disons de 2 à ... )

Bien, voilà le début :

Il était très tard, enfin je pense, je me promenais non loin de la forêt, j'étais en sueur, cela était interminable, je ne savais plus très bien quoi faire, quand soudain ...

Jusqu'à combien ?... tant pis…^^

… j’entendis « slache ! ». Je l’ais enfin trouvé ! … Mais lui aussi l’a trouvée. Peut-être aurais-je le temps de m’interposer. Dans ce cas, il fallait que j’agisse maintenant ! Où sont-ils exactement ? Le bruit m’a semblé venir de derrière cette végétation très dense. ...

Je m'approchais silencieusement. Le bruit recommença. Je me retournai. J'avais peur. Vraiment très peur. "Boum !". Un autre bruit. Différent du premier. Soudain, une main vient se plaquer contre ma bouche. Je ne pouvais plus bouger. J'étais tétanisé par la peur. ...

… « Chut ! C’est moi, n’ai pas peur. » Ma sœur venait de retenir mon cris.
« Viens vite, suis moi, j’ai réussit à lui fausser compagnie, je l’ai assommé. Il n’y a pas de temps à perdre, il peut nous trouver à tout moment. ». Elle m’entraîna plus loin, dans la forêt. Je la suivi. Mais, j’étais, hélas, déjà très fatigué. Alors, je commençais à la perdre de vue. Elle disparut. Je continuai à courir, puis, je me stoppai net. J’avais reconnu son pif crochu, les nombreux boutons qui avaient toujours recouvert son visage, son regard mauvais et les plumes hérissées sur sa tête. Je me demandais encore comment ma sœur avait fait pour l’aimer. Quand on rencontre un tel personnage, on fuit, on n’attend pas de savoir ce qu’il a en son for intérieur ! Pourtant je ne m’enfui pas, je restai pétrifié. Il s’approcha belliqueux, et me griffa au visage.
« Ah ! Mon œil ! Satané oiseaux ! Tu es le démon du diable ! » …

Une fois repoussé d'un coup sec et a moitié assommé après trente minutes de combat acharné [^^], le visage en sang et des courbatures partout, je finis par décider de me sauver, au cas où la bestiole aurait décidé de passer à l'attaque une seconde fois -jamais épuisées ces bêtes là- Je finit par arriver dans un coin sombre de la forêt, il n'y a aucun bruit et pourtant ...

... « Tu l’as tué ! Tu l’as tué ! Tu l’as tué sale ivrogne ! Charles ! Tu l’as tué ! Tu n’es qu’un assassin ! Tu as tué mon perroquet ! Tu te rends compte ! C’était le dernier de son espèce ! Je ne te le pardonnerais jamais ! Tu l’as tué ! ». Elle répéta encore « Tu l’as tué ! » de nombreuses fois, jusqu’à ce que j’arrive à prendre ma défense :
« Oui Marta, je l’ais tué. Il a essayé de m’attaqué, je me suis défendu.
-Non ! Tu es saoul ! Jamais Gâteau n’aurait fait de mal à une mouche ! Reprends tes esprits !
-Reprends tes esprits ? Mais j’ai toute ma tête Marta ! Cet oiseau était dangereux, et tu le sais. …

Sympathique ce jeu... J'entre dans la course... XD

-Non ! Il avait du cœur lui ! Il était droit, juste et loyale ! Il était franche, doux et compréhensif ! Et toi... Toi tu as osé le tuer ! Sale assassin !
-Hé oh ! C'était qu'un oiseau ! Un plumeux ! On se calme.
-Pourquoi je devrai me calmer ? Tu as tué mon seul amour ! Le seul qui était cher à mon cœur !
-Heu... Pourquoi tu le fuyais alors ?
-...
-...
-Et b...
Marta s'apprêtait à répliquer lorsqu'un bruit dans les fourrés les firent sursauter tous deux. Une imposante silhouette s'avança vers eux alors que Charles se plaçait devant sa sœur en une attitude protectrice -du moins si l'on passait le fait que ses genoux dansaient le flamenco-.
-Aaaah ! Mart ! Charlo ! Qu'est qu'vous fichez ici ?
-Borice ? Demande d'une voix légèrement fluette le Charlo en question.
-Ouaip !
Un grand dadais aux cheveux blonds plaqués par la crasse leur faisait face. Habillé comme l'as de pique, il portait notamment d'étranges sacoches d'où s'échappaient des pattes griffues, des becs, des ailes, des museaux... Et surtout, il tenait à la main le pauvre perroquet mort, pissant le sang.
-C'est à vous ?
-Gâteau !
Marta poussa son frère d'un coup de coude ce qui fit s'écrouler ce dernier dans la boue alors qu'elle se précipitait sur le cadavre au ventre ouvert sur des tripes sanglantes. Ouvrant les bras, elle y serra le malheureux oiseau tandis que Charles se relevait difficilement, pestant au passage contre les sœurs stupides qui pouvaient exister dans ce monde tout aussi pourri.
-Oh merci Borice ! Merci beaucoup !
Et adressant un grand sourire au grand dadais, elle étreignit avec tant de force le cadavre qu'un craquement atroce se fit entendre. Le pauvre Borice eut un mouvement de recul devant la bête qui se trouvait devant lui. Des boucles rousses, quelques tâches de rousseur, un petit nez relevé et un visage doux assez arrondi : Marta était une fille très mignonne.
Cependant, devant le spectacle de cette jeune beauté serrant tel une damnée un cadavre, il ne put s'empêcher de frissonner d'horreur, préférant s'approcher de Charlie qui tentait de nettoyer ses habits et ses cheveux hirsutes pleins de boues tout en jurant.
-Ca va mec ?
-Non ! Non ça va pas ! J'en ai ras le cul !
Et décochant au passage un coup de poing dans le ventre de Borice qui se plia, accusant le choc, il prit le cadavre de l'oiseau entre ses mains et le balança loin, très loin. Le plus loin que lui permettait ses maigres forces. Mais, contrairement à ce qu'il pensait -était-ce la rage ?-, l'oiseau mort alla voler sur plusieurs centaines de mètres ne devenant plus qu'un point noir à l'horizon sous le regard en pleurs de Marta.
-Toi ! Hurla t-elle en pointant un doigt sur son frère. Je vais te tuer !
Et d'un geste brusque elle tira le poignard qu'elle portait caché dans une de ses bottes.

Assez zarb non ? xD Je vais aller me coucher je pense.

- ... Marta, que fais-tu ? dit Charlie
- Je vais te tueeeeeeeeer !!!
- NON !!!!!!!!!!!!!!
... Boum !
- Marta, est-ce que ça va ? Tu n'as mal nul part ? dit Charlie
- Que... Que s'est-il passé ?
- Tu... tu allais me tuer quand Borice s'est interposé, ta fait une prise de karaté - trop fort ce mec là - et ta projeté sur un caillou !
- Où est-il passé !!! Je ne voulais pas te faire de mal mais juste t'intimider !
- Ca m'étonnerait que tu est "seulement voulut m'intimider". Tu as envoyer le poignard sur moi et il s'est planté juste dans le tronc de l'arbre qui étais à côté de moi !
- Alors c'est vrai ? J'ai vraiment fait ça, dit-elle - un petit sourire discret et innocent - Tu en est vraiment sûre ?
- Aussi sur que je te vois ! ... Attends, je vais de relever ! ...Boum !!!!
- OH la vache! Je peut pas, t'est trop lourde !!!
- Quoi !!! SBAM !! Tu as dit quoi !!
- Euh, moi rien ...
- OH si, attends voir un peu toi !!!
- Et même si j'avais dit quelque chose, que comptes-tu faire Marta ?
- Te faire soufriiiiiiiir !!!
- Cherie, juste comme ça, tu aime bien la répétition des voyelles !
- ...
- ...
BOUM PAF SBAM PLOUF AAHHHHH !!!!!!!

- Au secours !! A l'aide !! Appellé les pompiers, le samu, l'armée, je me fait tuer, à l'aide ...
- Ahhhh !! Bo ... Borice, aide-moi, je t'en prie, dit Charlie avec le peut de force qu'il lui reste !

Alors que les deux frangins étaient en train de s’entre-tuer, un grand gaillard –celui-ci était bucheron– qui passait dans le coin fut intrigué par le boucan. Il s’interposa avec son imposante stature, une hache à la main qu’il brandissait dangereusement au dessus de leurs têtes. Charlie et Marta paniquèrent face à cette agression inattendue et prirent leurs jambes à leur cou. Regardant en arrièrent ils ne virent pas Borice contre lequel ils se choquèrent brutalement.

Quand tous les trois reprirent connaissance, ils virent le bucheron qui agitait sa hache en tous sens. Au bout d’un moment ils remarquèrent des couleurs vivent qui fuyaient les coups et tentaient de s’approcher du bucheron. Ce fut Marta la plus rapide : Quand elle eu reconnu Gâteau –qui n’était pas mort– elle bondit sur ses pieds, et telle une fusée fondit sur le bucheron. Si vous avez déjà vu comment les rugbymen font leurs plaquages, alors vous pouvez vous imaginer ce qui arriva au bucheron, à une exception prêt : il n’y a pas de tronc contre lequel la tête peut heurter lors d’un match de rugby… Voici donc le bucheron inactif pour un long moment.
Le perroquet se sentant maintenant menacé s’enfuit en rasant le sol n’ayant pas réalisé qu’en hauteur il serait tranquille. Marta courut le rattraper, Charlie courut après sa sœur, et Borice ne voulant pas rester seul avec le fort bucheron armé de sa hache, courut après Charlie.

Ça prend une tournure assez comique...

Le perroquet, qui était en réalité le fils du dieu des perroquets - qui l'avait ressucité plus tôt que la date prévue des trois jours, mais enfin bon - n'était pas si bête que cela. Car enfin, il était le fils du dieu des perroquets, et par conséquent son papounet chéri le ressuciterait s'il lui arrivait à nouveau malheur. En plus il était franc, doux, loyal, droit, juste et compréhensif, il multipliait les graines et les os de sèche, et tout le monde l'aimait. Aucun souci à se faire, donc.
Or donc, comme il filait presque au ras du sol et ne pensait pas à s'élever puisqu'il n'en avait nullement besoin, poursuivi directement par Marta, et par procuration par Charlie et Borice, un grand éclat de lumière pétrifia tout le monde d'horreur.
Ou d'admiration, si l'on veut.
Un homme d'allure bizarre venait d'apparaître, grand-beau-svelte, au yeux de biche et aux longs cheveux blancs dignes d'un publicité de Loreliane - qu'il agitait d'ailleurs avec grâce.
Il écarquilla les yeux, cessa de faire ondoyer sa chevelure, fronça les sourcils, marmonna quelque chose comme "Ce n'est pas le bon endroit", rejeta ses magnifiqueuh cheveux en arrière et disparut avec un grand "FLASH", laissant l'assistance coîte...

Oui, je sais, j'ai disjoncté...